Persée rencontre d'autres gens :3 [Libre]

Je ne comprenais pas trop on l'on m'emmener, mais ne n'avait ni selle, ni filet, alors, je me dis que l'on était entrain de m'emmener au prés. Je dressa les oreilles et essayai d'aller plus vite que mon meneur, biensûr, il me rappela à l'ordre un sec, coup de longe. Je me calmai donc et marchai près de lui.

Il semblait finalement que l'on m'emmener vers une carrière, je sentais l'odeur d'un autre cheval, un étalon semblait-il. Je lançai un petit hennissement. Mon meneur, m'emmena bien dans cette carrière.Il le fait marcher un moment, puis me lâcha. Je parti au petit trot, mais au galop la queue en panache, ignorant royalement l'étalon présent. Je me défoulais, ruais, galopais, puis je me calmai enfin et je roulai dans le sable tiède et humide.

Au petit trot je rejoignis l'étalon, le regardai et le suivi.

" Bonjour, vous. "

L'étalon semble se rendre compte de ma présence, il tend l'encolure vers moi. Il me salut. Mon meneur semble vouloir me laisser en liberté, contrairement à se pauvre Persée. Alors, je continu de marcher à côté de lui, les deux Hommes semble se mettre un peu en colère, mais je n'en tient pas compte et continu de marcher.

" Je suis Juste un Souffle. "

Je me présente simplement, je regarde le bai, c'est un bel étalon bai. Puis se regarde l'Homme qui le tient, il est blond, il semble de montrer ferme avec lui. Mes sabot s'enfonce dans le sable humide de la carrière, il a plu récemment,  et le sol est un peu mou. Décidée à me faire des amis, voir même des ennemis, j'entame un dialogue.

" Vous êtes ici depuis longtemps ? "

je trotte direction la carrière, Margaux me tient fermement, elle sait que je suis un peu fou fou! elle voulait me faire rencontrée d'autre chevaux pour me sociabiliser! ça me va! on finit par marcher plus doucement. Il y as deux chevaux dans la carrière, une jolie jument grise et un bel étalon bai. Je suis déçue ce ne sont pas des yearlings comme moi, mais c'est pas grave!

Bonjour!

s'annonce Margaux avant de détaché la longe de mon licols. Je rentre en galopant vers eux.

BONJOUR!

j'hennis.

Je renâcle en voyant tout ce monde, d'abord un poulain, puis ensuite une autre jument. A dieu la tranquillité, bonjour le brouhaha. Je soupire doucement et reste près de Persée, dégageant un peu le poulain de mes pâtes.

" Bonjour, tout le monde. "

Je regarde attentivement tout le monde puis me reporte sur Persée.

" Oui, je suis ici depuis quelque jour "

Je regardais les chevaux galoper de part et d'autre de la carrière tout en continuant de marcher au près de Persée. Je lève les naseaux vers le ciel qui s'assombri peu à peu, l'air devient lourd, je renâcle un peu, l'orage se fait sentir.

" Oh, d'un petit élevage je crois, c'est auprès d'un vieil Homme que j'ai grandit, c'était bien. "

Je baisse la tête, un peu mélencolique. J'ai toujours aimé vivre dans mon prés, avec mon troupeau, mes amis, mes connaissance et mes ennemis. Mais ce temps semble être révolu, maintenant, je suis ici, et je prête mon dos a tout en tas de cavalier. Je relève la tête et le regarde.

Et vous ?

Je regarde l'étalon qui semble lui aussi avoir sentit que l'orage arrivait. Je secoue un peu l'encolure, moi, contrairement à lui, ma peau est fine, moi poil aussi, je suis un cheval de sport, moins résistant.
Je gratte un peu le sol et m'ébroue.

" Qui de nous deux est le plus rapide d'après vous ? "

Je lorgne un instant les cavaliers présents et se prépare, la queue en panache, à partir comme une

Je part au "Go", je galope, vite, oreilles couchées, les naseaux dilatés. Je le dépasse tout juste d'une tête, j'allonge la foulée, je souffle et renâcle.

Il s'étend, il me dépasse. Il est plus grand que moi, mais j’accélère et je prend de peu la tête. La fin de la carrière approche, vite.

Il me dépasse. Nous somme en fin de course, j'ai perdu, c'est indéniable. La clôture de rapproche, encore, encore. J'allonge un peu. En vain. Je pile a quelque centimètre de la clôture. Juste un peu après lui. J'ai perdu.
Je reprends mon souffle, qui est court, moon coeur bat dans mes oreilles. C'était sympas, une belle course.

» Vous êtes rapide vous aussi. Vous avez gagné, mais merci «

Pour une fois, je laisse mon égo de côté, lève la tête et sourit un peu à l'étalon près de moi.