Juste un Souffle, son box, sa maison.

J'ouvrais péniblement un œil. C'était l'air froid du matin qui m'avait Reveille et pour ça, je serai de mauvaise humeur. Le monsieur chez que je vivais auparavant venait de, je crois, me vendre, ou quelque chose de la sorte. Alors, quelque temps plus tard, je m'étais retrouvée dans un camion, le voyage avait été long, j'avais froid, soif et j'étais fatiguée. Puis, quelque longue heures plus tard, on me déchargeai. Il y avait plein de monde autour de moi, d'autre chevaux, beaucoup d'autre chevaux. J'étais perdue, j'avais peur. Alors, je voulu me débattre, m'enfuir, partir loin, retrouver le vieux monsieur qui avait pris soin de moi. Mais non, on me tenait plus fermement que jamais, je ne pouvais bouger, on m'emmenais. A chaque cheval qui passait, je  me contentais de claquer des dents, et de mordre.

Quelque temps plus tard, le bipède qui me menait, m'arrêta et m'attacha. On me scrutait, me regardait, de touchait de partout. Non, définitivement, je ne comprenais pas, et par dessus tout, je n'aimais pas. De temps en temps, je tentais de mordre, de taper, de me défendre et m’affirmer.

Puis plus le temps passait, moins on venait me voir, moins il y avait de monde, et ce ne fut pas pour me déplaire. Alors, je somnola, puis l’Homme qui m'avait emmené, s'approcha, me flatta pour la première fois l'encolure, je le regarda, un sourire fade et des oeils monotone me regardait, il semblait dire " Je suis désolée ma grande, mais ce sera l’équarrisseur pour toi. " Je ne comprenais pas, je m'en moquais, j'étais tranquille. Alors, l'Homme parla avec quelqu'un dans son petit boitié, je ne comprenais pas, " Oui, j'ai une cheval.. Non, une jument, je n'ai pas réussis à la vendre, c'est dommage, une belle bête, avec un beau caractère, donc tu l'emmène ? Bien, je t'attends.".

Puis, un peu plus tard, on recommençais à m'examiner, de partout, mais plus doucement qu'avant, plus minutieusement aussi. L'Homme s'écarta et parla avec l'autre Homme, longtemps ils discutèrent de chose que je ne comprenait pas. Puis finalement, l'Homme qui m'avait examiner revint vers moi, me détacha et m'emmena dans un autre camion. On roula une fois de plus, mais là, j'avais du foin, alors je mangeai, puis on arriva, dans une petite écurie, il me semblait. Je poussai un petit hennissement, quelque réponse l’accueilli, il y avait donc d'autre chevaux.

On me mis par la suite dans un box douillet et plein de foin avec de l'eau à volonté. Je prenais donc mes aises. Une personne vint à me chouchouter. Alors, je comprenait enfin où j'étais. Dans un centre équestre, et mon histoire allait recommencer