Et de retour dans les jolis prés

Je revenais enfin à Equid Compétition. Cela faisait plus d'un mois que j'avais bougé dans un centre de rééducation spécialisés dans les problèmes de paturons, et je pouvais de nouveau galoper. A moi la liberté! Coline me fit descendre du van, avec un grand sourire. Elle allait enfin elle aussi pouvoir reprendre l'entrainement, elle montait bien de temps en temps, mais elle me disait qu'elle ne m'aimait que moi.

Coline, et ses longs cheveux blond qui étaient éparpillés à cause du vent, m'emmena jusqu'au prés. Depuis combien de temps n'avais-pas gouter aux verdures? Coline voyait bien mon impatience, puisqu'elle se mit à rigoler. Elle enleva le licol, et me planqua un bisous dans l'encolure. Puis, elle referma la cloture, et la je me mis à galoper de toute mes forces. Je dévalai les petites plaines, et ça me faisait un bien fou. Je me cabra, et retomba doucement quand je vis que je n'étais pas seule. C'était le bon moment pour se faire des amis.

Je vis un étalon gris qui releva la tête. Je m'attendis a qu'il dise bonjor. Mais non.

"Au dieu marie jésus, il n'y aura donc jamais un moyen d'être tranquille?"

Je m'approcha de lui, et je tapa du pied a côté de lui.

"Salut. Moi c'est Alizée. Je ne suis nie Dieu, ni Marie, ni Jésus. Tu t'es trompée de personne. Et toi?"

Je savais que je pouvais répondre aisément, j'ai de la répartie. Et je n'aime pas les chevaux qui ne pensent qu'à la compétition. Surtout quand comme moi on a failli partir à l'abattoir. J'étais comme ça avant, je ne voulais que faire de la compet'. J'étais une crack des champs de course. Combien de course j'ai gagné. Entre les courses handicap, les normals et toutes les autres.

L'étalon me regarda d'un air méprisant. Je secoua ma tête et le regarda. Visiblement, il ne voualit pas parler.

"ça c'es sûr, tu n'est ni marie, ni jésus, et encore moins dieu. quand à mon nom ça ne te regarde pas."

Il me tourna le dos et rcommenca à manger. Je me deplaca juste devant lui. Je baissa la tete le regardant.

"Tu sais, c'est pas en faisant comme ça que tu va te déarrasser de moi."

Visblement, ma présence ne lui plaisait pas du tout. Sauf que je n'étais meme pas du genre a abandonner, syrtout quand on me cherche.

"Alors je suppose que l'option je te pète le genou est d'actualité"

Il me donna un coup d'épaule et partis. Si il m'avait redéboiter le pied, je le tuerai. Je bouga mon membres. Mais visiblement, a part la douleur il n'y a rien. Je trotta un peu et lr rejoignit.

"Ecoute, avant jnetais comme toi. Je ne pendais qu'a la course. J'en ai meme gagné plus d'une. J'etais une crack. Jusqu'au jour ou je me suis péter le paturon. J'ai failli finir a l'abattoir. Si Coline ne m'avait pas racheté, je serai peut etre deja un steak ou autre. Alors maibtenant, si tu crois que je vais abandonner. Tu te mets le sabots sur le chanfrein mon potes."

Elle pila net, lui coupant la route pour qu'il s'arrete.

Jeanne me lâche au pré. ça faisait longtemps que je n'avais pas été là dedans.

Mais je vis une jument, une belle jument pur sang qui se faisait embêter par un étalon, d'origines proches des miennes, cependant il  avait l'air méprisant, agressif! Je fonçais vers eux au galop, et me cabrai devant l'étalon, pour qu'il laisse la jument tranquille. Sinon, cela pourrait être dangereux, les masses musculaires des chevaux p.r.e et lusitanos sont quand même importantes!

"Mais qu'est ce qui te prend!"

Je regardai l'étalon qui m'avait vexée. Il ne réalisait donc pas que ca pourrait lui arriver la même chose? On pouvait se faire tuer à tout moment, dès qu'on est blessé, et que nos cavaliers ou propriétaire croivent qu'on ne peut plus rien faire avec nous. Je remercia Brisingr qui avait volé à ma rescousse. Je ne le connaissais que de vu, mais il avait était courageux de venir m'aider. Mais je ne comptais pas abandonner si facilement, j'y retourna, plus determinée que jamais.

"Tu vois, je ne te souhaite pas d'avoirle même destin que moi, je ne te souhaite pas te blesser, et devoir abandonner tout ce que tu as construit et tous tes concours, si un jour ca t'arrive, j'sepère que ta cavalière ne pensera pas que ta blessure te fait souffrir, et que le seul moyen de t'aider et la mort. Car c'est ce que pensais mon propriétaire. Maintenant je suis tombée sur Coline, et quand tu passe par là, tu as une envie de vivre, c'est horrile. Alors maintenant, si tu crois que je vais abandonner!"

Je le regarda, lui montrant que j'étais véxée, si un jour cela lui arrive, j'aimerais bien voir sa réaction.

"Et peut etre que je me rabache mais je veux que tucomprennes."

Je le regarda.

"Sache que la mort ne fais pas peur, la mort est une chose quotidienne, que l’on peu éviter, don on ne peu se cacher et l’important n’est pas quand mourir, mais comment mourir, je prefère encore sombrer dans les ténèbre que devoir arreté tout mes projet "

Je sentit les lamres me montaient aux yeux, je me revoyait à l'époque comme lui. Je hocha la tête, et je lui dit:

"Très bien. J'abandonne, je ne peux pas lutter contre mon sosie d'avant."

Et je partit, allant sous un arbre, à l'ombre seule. Je repensa a tout ce que j'avais vécu, mais me voila raiment a ma place maintenant.